(en milliers de dollars canadiens) | Immeubles et installations auxiliaires $ |
Pistes, chaussées et autres surfaces pavées $ |
Technologies de l’information, mobilier et équipement $ |
Véhicules $ | Améliorations des terrains $ |
Constructions en cours $ |
Total en 2016 $ |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Valeur brute Solde au 1er janvier 2016 |
461 887 | 100 563 | 40 061 | 29 256 | 10 298 | 11 693 | 653 758 |
Entrées | 211 | – | 1 614 | 1 060 | 13 | 21 781 | 24 679 |
Transferts | 16 638 | 4 907 | 1 522 | – | 518 | (23 585) | – |
Cessions | (3 307) | (1 475) | (5 144) | (273) | (12) | – | (10 211) |
Au 31 décembre 2016 | 475 429 | 103 995 | 38 053 | 30 043 | 10 817 | 9 889 | 668 226 |
Amortissement cumulé Solde au 1er janvier 2016 |
145 372 | 26 816 | 28 362 | 10 947 | 6 440 | – | 217 937 |
Amortissement | 18 093 | 4 327 | 3 392 | 1 757 | 478 | – | 28 047 |
Cessions | (3 306) | (1 475) | (5 135) | (273) | (12) | – | (10 201) |
Au 31 décembre 2016 | 160 159 | 29 668 | 26 619 | 12 431 | 6 906 | – | 235 783 |
Valeur nette Au 31 décembre 2016 |
315 270 | 74 327 | 11 434 | 17 612 | 3 911 | 9 889 | 432 443 |
(en milliers de dollars canadiens) | Immeubles et installations auxiliaires $ |
Pistes, chaussées et autres surfaces pavées $ |
Technologies de l’information, mobilier et équipement $ |
Véhicules $ |
Améliorations des terrains $ |
Constructions en cours $ |
Total en 2015 $ |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Valeur brute Solde au 1er janvier 2015 |
436 217 | 96 706 | 37 404 | 24 493 | 9 734 | 28 800 | 633 354 |
Entrées | 7 766 | 3 740 | 3 475 | 5 251 | 22 | 10 952 | 31 206 |
Transferts | 25 641 | 117 | 1 759 | – | 542 | (28 059) | – |
Cessions | (7 737) | – | (2 577) | (488) | – | – | (10 802) |
Au 31 décembre 2015 | 461 887 | 100 563 | 40 061 | 29 256 | 10 298 | 11 693 | 653 758 |
Amortissement cumulé Solde au 1er janvier 2015 |
136 307 | 22 850 | 27 708 | 9 921 | 5 997 | – | 202 783 |
Amortissement | 16 802 | 3 966 | 3 231 | 1 511 | 443 | – | 25 953 |
Cessions | (7 737) | – | (2 577) | (485) | – | – | (10 799) |
Au 31 décembre 2015 | 145 372 | 26 816 | 28 362 | 10 947 | 6 440 | – | 217 937 |
Valeur nette Au 31 décembre 2015 |
316 515 | 73 747 | 11 699 | 18 309 | 3 858 | 11 693 | 435 821 |
(en milliers de dollars canadiens) | 2016 $ |
2015 $ |
---|---|---|
Quote-part du produit futur lié au 4160, promenade Riverside, au coût | 2 930 | 2 930 |
Améliorations locatives et incitatifs à la prise à bail, déduction faite de l’amortissement | 2 469 | 2 533 |
5 399 | 5 463 |
Aux termes d’un accord signé le 27 mai 1999, l’Administration a convenu d’aider la municipalité régionale d’Ottawa-Carleton (devenue la Ville d’Ottawa, la « Ville ») à acquérir des terrains connus sous la désignation civique de 4160, promenade Riverside, en accordant à la Ville 50,0 % des fonds requis pour son acquisition. En retour, la Ville a convenu d’établir des restrictions quant à l’utilisation des terrains afin de s’assurer que leur utilisation éventuelle soit compatible avec les activités de l’Administration. De plus, l’Administration recevra 50,0 % du produit net futur provenant de la vente, du transfert, de la location ou de tout acte de transport des terrains, le cas échéant.
En 2011, l’Administration a conclu avec un sous-locataire un bail à long terme qui prévoit une période de loyer gratuit de trois ans et offre au locataire, en guise d’incitatif à la prise à bail, un paiement de 1,5 million de dollars destiné à couvrir les coûts liés à l’aménagement des infrastructures de services publics et à d’autres améliorations du site. Les incitatifs à la prise à bail liés aux locaux loués, y compris la valeur des périodes de loyer gratuit, sont différés et amortis selon le mode linéaire sur la durée du bail visé, et comptabilisés en réduction des revenus locatifs. La valeur de ces incitatifs à la prise à bail est comptabilisée comme une réduction des loyers durant les 20 premières années du bail, dont la durée est de 47 ans.
L’Administration maintient un accès à des facilités de crédit fermes (les « facilités de crédit ») d’un montant global de 140 millions de dollars (140 millions de dollars en 2015) auprès de deux banques canadiennes. Les facilités de crédit de 364 jours qui sont échues le 14 octobre 2016 ont été prolongées d’une autre période de 364 jours jusqu’au 13 octobre 2017. Ces facilités de crédit sont garanties en vertu de l’acte de fiducie globale (voir la note 8), et les prélèvements aux termes de ces facilités peuvent être effectués au moyen de découverts, d’emprunts au taux préférentiel ou d’acceptations bancaires. La dette aux termes des facilités de crédit porte intérêt à des taux qui suivent le taux préférentiel du prêteur et les taux des acceptations bancaires, le cas échéant.
Le tableau ci-après présente un sommaire des montants disponibles aux termes de chacune des facilités de crédit, ainsi que les dates d’échéance et les fins visées.
Type de facilité | Échéance | Fins visées | 2016 $ (millions) |
2015 $ (millions) |
---|---|---|---|---|
Renouvelable – 364 jours | 13 octobre 2017 | Besoins généraux et dépenses d’investissement | 40,0 | 40,0 |
Éventualités en $ US (10 M$ US) | 13 octobre 2017 | Couverture de taux d’intérêt | 14,0 | 14,0 |
Lettre de crédit | 13 octobre 2017 | Garantie pour le fonds de réserve pour le service de la dette (voir la note 8 a) | 6,0 | 6,0 |
Renouvelable – 5 ans | 15 mai 2020 | Besoins généraux et dépenses d’investissement | 80,0 | 80,0 |
Total | 140,0 | 140,0 |
Au 31 décembre 2016, 14,0 millions de dollars des facilités de crédit avaient été attribués au fonds de réserve pour l’exploitation et l’entretien (voir la note 8 a).
Pour satisfaire aux exigences du fonds de réserve pour le service de la dette visant les obligations de série E, 5,9 millions de dollars des facilités de crédit ont été attribués à une lettre de crédit de soutien irrévocable en faveur du fiduciaire.
L’Administration est prorogée sans capital-actions en vertu de la Loi canadienne sur les organisations à but non lucratif et, à ce titre, tous ses bénéfices sont conservés et réinvestis dans l’exploitation et le développement de l’aéroport. Par conséquent, les seules sources de capital dont dispose l’Administration pour financer l’exploitation et le développement de l’aéroport sont la dette bancaire, la dette à long terme et les résultats cumulés inscrits à l’état de la situation financière sous « Résultats non distribués ».
L’Administration contracte des emprunts, notamment sous forme de dette bancaire et de dette à long terme, pour financer le développement de l’aéroport. Elle le fait jusqu’à concurrence du montant qu’elle considère comme raisonnable, à la lumière des produits qu’elle tire des FAA, et en vue de maintenir des ratios de couverture du service de la dette et de la dette à long terme par ratio d’embarquement des passagers. Ces ratios de couverture représentent la limite que l’Administration s’est fixée quant aux dépenses qu’elle peut engager à l’égard des projets de développement d’envergure de l’aéroport, tels que ses programmes majeurs de construction d’infrastructures.
L’Administration gère ses tarifs et ses charges liés à l’aéronautique, de même que ses autres frais, de manière à assurer la continuité de son exploitation et à maintenir une structure du capital prudente. L’Administration modifie ces tarifs dans le but de s’ajuster à la conjoncture économique, aux charges d’exploitation et au cadre réglementaire afin de s’assurer de dégager un bénéfice net suffisant pour satisfaire à ses exigences courantes en matière de couverture de la dette.
Bien qu’elle ne soit pas assujettie à des exigences en matière de capital imposées par une autorité de réglementation, l’Administration gère son capital de façon à respecter les clauses restrictives de l’acte de fiducie globale (voir la note 8 a) et de manière à ne pas nuire à ses notations de crédit et à continuer de jouir du meilleur accès possible à du financement à coût raisonnable.